L’agenda en ligne fait l’objet de nombre d’idées reçues chez les ostéopathes. Pour autant, ceux qui l’ont adopté témoignent d’un gain de temps et d’une relation améliorée avec les patients ! Focus sur 3 idées reçues qui méritent d’être balayées.
Idée reçue n°1 : l’agenda en ligne sert à avoir plus de patients pour les ostéopathes
L’apport de patientèle n’est pas l’objectif principal de l’agenda en ligne : “L’intérêt premier, c’est le gain de temps. Aujourd’hui, 80 % des rendez-vous sont pris par les patients directement en ligne” explique Romain Potterie, ostéopathe à Chauny, dans l’Aisne, et membre du programme Pionniers Doctolib. Ce qui implique une réduction du temps passé au téléphone pour la prise de rendez-vous, et donc davantage de temps pour vos patients ! D’autant qu’eux aussi souhaitent dorénavant être autonomes dans leur prise de rendez-vous.
Idée reçue n°2 : il y a trop de concurrence sur l’agenda en ligne pour les ostéopathes
Être visible sur le web n’augmente pas en tant que telle la concurrence. Au contraire, c’est l’occasion de vous différencier afin d’attirer la patientèle la plus qualifiée possible. Ostéopathie viscérale, crânienne, gynécologique, de la femme enceinte, du sportif, du nourisson… pensez à spécifier vos domaines d’expertise, comme le recommande Vincent Meslet, ostéopathe et fondateur de lachainesante, lors du RDV du Doctolab “Les clés du succès pour votre cabinet”.
Idée reçue n°3 : l’agenda en ligne augmente le risque de lapins et d’annulations pour les ostéopathes
Les ostéopathes témoignent du contraire ! “Grâce au rappel de rendez-vous par sms et mail, je suis passé de 3 à 4 lapins par semaine, à quasiment aucun” confirme Romain Potterie. D’ailleurs le rappel automatique de rendez-vous sur Doctolib est la fonctionnalité préférée des ostéopathes, suivie par l’optimisation sur-mesure de l’agenda en ligne et l’application mobile.
Découvrez l’ensemble des conseils de vos confrères et de vos consoeurs dans notre nouvelle étude “Les 7 idées reçues des ostéopathes sur l’agenda en ligne”.
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