Plus de confiance, plus de présence : retour d’expérience du Dr S sur l’assistant de consultation Doctolib
Des consultations complexes, des parcours patients singuliers.
Le Dr S est pédiatre, spécialisée en néphrologie et rhumatologie pédiatrique. Après des années à l’hôpital et un passage à l’étranger, elle partage aujourd’hui son temps entre l’hôpital et une activité libérale au sein d’une clinique, où elle reçoit des enfants atteints de pathologies rénales ou articulaires. « La plupart de mes patients ont déjà consulté ailleurs, et arrivent avec des histoires longues et complexes. » Les journées du Dr S sont denses, rythmées par les consultations, les examens à organiser et les synthèses à rédiger.
L’assistant, une révolution dans la gestion du temps et de la charge mentale.
Le Dr S fait partie des premiers médecins à avoir bêta-testé l’assistant de consultation Doctolib. « J’ai testé l’outil très tôt, j’ai beaucoup échangé avec les équipes produit et design, et j’en ai suivi l’évolution. » À la clinique, elle utilise désormais l’assistant systématiquement. « Dès que le patient s’installe, je lance l’assistant. Il m’aide à garder le fil, à ne rien oublier, et me permet de moins regarder l’écran. Je me consacre vraiment à mes patients, je peux décaler l’ordinateur et rester dans l’échange, yeux dans les yeux. »
Résultat ? « J’ai des consultations plus qualitatives et je suis plus efficace : le soir, je n’ai plus à rédiger des courriers interminables car j’utilise la génération automatique de comptes-rendus. Je gagne du temps sur mes consultations, mais aussi sur ma fin de journée. Je peux voir deux à trois patients de plus grâce au temps gagné, ou simplement rentrer chez moi plus tôt. »
Un outil qui s’adapte aux consultations pédiatriques.
Le Dr S souligne un véritable gain de sérénité : « Je sais que tout est noté, je ne risque pas d’oublier un détail important. Ma charge mentale a vraiment diminué”.
Elle évoque aussi la façon dont l’assistant gère les consultations avec plusieurs personnes, ce qui est toujours le cas en pédiatrie. « Il distingue parfaitement qui dit quoi, même si tout le monde parle en même temps. Si la mère évoque un diabète chez sa propre mère, puis le père une hypertension chez son père, tout est bien restitué dans les antécédents : diabète chez la grand-mère maternelle, hypertension chez le grand-père paternel. Il ne se trompe pas ! »
Un partenaire du quotidien pour plus de présence.
Avec le temps, Dr S fait tellement confiance à l’assistant qu’elle ne relit parfois plus systématiquement. Même si elle attend que l’outil s’adapte encore mieux aux spécificités de la pédiatrie spécialisée, elle ne reviendrait plus en arrière : « Aujourd’hui, je gagne en efficacité, je gagne en sérénité, et surtout je suis mieux à l’écoute de mes patients.»
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